Comme annoncé dans l'article précédent, Mme THOMAS, maire de Robécourt, a pris la peine de nous expliquer sa décision.
Je vous la livre telle que Mme THOMAS l'a écrite :
"Je me suis désistée à l'issue de la réunion publique de JL Thouvenot à Robécourt lorsque je me suis aperçue que mon candidat ne tenait pas compte de ce
que je pensais... je suis contre un CSDU sur notre commune, c'est une aberration, vraiment excentré, sol pas compatible, risques pour les sources, surcoûts de transport
etc.
JL Thouvenot savait pourtant que si j'étais partante à ses côtés dans cette candidature aux cantonales, c'était dans le but
de mieux pouvoir défendre Robécourt et empêcher l'implantation d'un CSDU. Je me suis rendu compte que JL Thouvenot acceptait que je m'occupe de ce dossier mais n'était pas prêt à me soutenir. A
moi l'engagement, à lui les honneurs !
Je ne pouvais pas être d'accord avec cette position, c'est ce qui explique mon désistement. C'est ma décision et personne
ne m'a influencée comme le prétend le candidat.
Malheureusement je suis liée jusqu'au bout (lettre A.R en préfecture), d'après les textes de loi, c'est pour cela que je laisse le
libre choix aux électeurs. Je tiens à ce qu'ils sachent que je ne continue donc plus cette campagne.
Je remercie tous les candidats qui s'opposent au projet d'un CSDU sur ROBECOURT. Forte de ces
soutiens, la future Municipalité, ne manquera pas de les solliciter à tout moment opportun"
L'association ACCID la remercie pour avoir pris la peine de nous répondre. Au moins maintenant, les positions de chacun et chacune sont claires.